Dans un courrier adressé au Premier Ministre, les élus représentant les collectivités locales au conseil de surveillance de la Société du Grand Paris ont annoncé se désolidariser des décisions antérieures de ce conseil qui, en raison du caractère lacunaire et biaisé des informations fournies par l’Etat et la Société du Grand Paris, ont conduit à une situation d’impasse : dérives budgétaires catastrophiques, aléas techniques non maîtrisés, impossibilité de respecter les objectifs calendaires annoncés.